Pacy mise sur la jeunesse

Départs : Keita, Camara (Aubevoye), Bouquet (arrêt).

La saison passée : 1er de DH (Normandie).

Objectif : Champion de DH en Ligue de Normandie la saison passée, l'équipe réserve de Pacy-sur-Eure aborde cette saison dans le groupe A de CFA 2 avec prudence.

« De par les précédents parcours des clubs de Normandie ayant accédé à ce niveau, on se dit que cela va être difficile, puisqu'ils sont rarement restés en CFA 2 plus d'une saison », confie Manu Huet, l'entraîneur pacéen. D'où un objectif très clair : le maintien.

Pour ce faire, le technicien haut-normand pourra compter sur les joueurs mis à disposition par l'équipe première : « C'est un plus de pouvoir compter sur des renforts de l'équipe A, mais nous serons sûrement plus fragilisés quand il n'y en aura pas. » Mais Manu Huet a confiance en la jeunesse d'un groupe très peu modifié, et dont les qualités techniques et défensives ne sont plus à prouver.

<script language=javascript type=text/javascript>OAS_AD('Position1');</script>

En exclu sur le site des indépendants of Pacy des nouvelles de notre camille. Apparament il regrette déja d'etre parti!!!!!!!!! Et oui  mon coco l'aire pure de l'eure c'est pas facile à digérer.

De plus, comme tout le monde le sait ( sauf domenico). Je suis à fond dans l'info on the web. Retrouve sur le lien suivant la video de camille avant l'entrainement............

clique ICI :  CAMILLE EN PLEINE PREPARATION

Présentation de ce petit club d'irréductibles bretons situé dans les Montagnes Noir.

Lien du club: http://lespapillonsbleus.ifrance.com/

Et n'oubliez pas. Le 15 Aout c'est cochon grillé!!!!!!!

Avec la petite musique qui va avec.....

http://www.deezer.com/track/930417

Le stade ou quon va samedi!!!!!!!!!!!!!!

Itinéraire pour ce rendre au stade:

Clique ici

Entente Sannois Saint-Gratien
Club fondé le	1er juin 1989 (fusion)
Surnom	Entente
Statut professionnel	jamais
Couleurs	Bleu, noir et blanc / jaune à l'extérieur
Stade	Stade Michel Hidalgo (8000 places)
Affluence record	2 939 spectateurs 20 mai 2005, (AS Cherbourg)
Siège	2 Boulevard de l’Entente 95210 St Gratien
Domicile	Extérieur

Effectif 2008/2009

• Gardiens : Arnaud Ribeiro
• Défenseurs : Adel Guemari, Christophe Freitas, Pierre-Henri Lamy, Julien Outrebon.
• Milieux : Amin Arroub, Losseni Keita, Gaël Maïa, Karim Miloudi, Jean-Marc Oroque, Jonathan Ribadeira.
• Attaquants : Farid Boutadjine, Dantas Wellington  Brésil, Adams Doumbia.

Si Pacy n'a toujours pas pris le moindre but, son nouveau gardien y est pour quelque chose. Ce qu'il faut retenir de cette 2e journée de National.
"L'homme"
La bonne impression laissée par Sébastien Robert contre Niort demandait confirmation, ne serait-ce que parce que le néo-portier pacéen avait été réduit au chômage technique par de timides Chamois. Les Béliers de Créteil s'étant montrés plus féroces, l'ancien Rouennais a cette fois pu faire étalage de toute sa classe d'un réflexe fantastique devant N'Guessi et par deux duels gagnés devant Vareilles, pour du beurre car l'attaquant francilien était hors-jeu, mais gagnés quand même. «On sait que si on est débordés, Seb est là derrière», retient Stjepan Cvitkovic. Et bien là. «Mais ce match nul, c'est celui de tout le groupe», souligne l'intéressé qui, s'il continue sur cette lancée, peut donner raison aux propos élogieux tenus récemment (PN de vendredi) par Régis Brouard, l'entraîneur de l'US Quevilly (d'où il avait été forcé de partir en janvier dernier), à son intention : «Il a un potentiel énorme et sera peut-être l'un des meilleurs gardiens de National.»
Le baromEtre
Au beau fixe : Robert n'a pas été le seul à briller derrière. Sylva l'a bien aidé à protéger son but et s'est permis quelques montées tranchantes dans son couloir en fin de match. M'Bessa, entré en seconde période, a changé presque à lui seul la face du match par ses accélérations et ses dribbles. Lui a manqué, encore, la finition... Lorsque son équipe se cherchait, le petit Guindo a été le seul à essayer de créer l'étincelle. Bezzou, qui l'a suppléé, a apporté un vrai plus technique.
Mauvais temps : Denoyers et Sambagué ont souffert sur l'axe gauche de la défense, notamment devant N'Guessi. Gaël Angoula a vécu une première titularisation contrastée. Il a tout de même mieux fini, comme Mirza. Mal servi, pas dans le tempo, El-Hajri n'a jamais pu se mettre dans le sens du but.
La phrase
«C'est peut-être le premier match de ma carrière lors duquel je ne me crée pas l'ombre d'une occasion...» Jawad El-Hajri attendait forcément beaucoup mieux de son grand retour à Ménilles et de sa première apparition officielle de la saison. L'avant-centre pacéen, souvent sanctionné par l'arbitre qui a même fini par lui brandir un carton jaune pour un tacle en retard sur Paul (55e) ne s'est pas amusé contre Créteil. Une soirée à oublier.
Le chiffre
3 : Seulement trois des vingt équipes de National n'ont toujours pas encaissé le moindre but. Hormis Pacy et... Créteil, adversaires samedi, Calais a également su dresser une muraille efficace pendant 180 minutes. A l'opposé, le PVEF figure au sein d'un quatuor moins enviable, celui de la stérilité offensive, au sein duquel Créteil, encore, Croix-de-Savoie et Sannois-Saint-Gratien, son prochain adversaire, lui tiennent compagnie.
La perf
Bayonne seul en tête après deux journées, c'était la grosse cote. Plus petit budget du National, qu'ils ont bouclé à grand-peine à l'intersaison (moins de 1 M€), les Basques se sont offert le scalp de l'ambitieux Paris FC samedi au stade Didier Deschamps (2-0).

Le maillot du PVEF!!! encore et toujours.

Il y a 10 ans deja, le pvef etait en national avec du loto sur le dos. maintenant c'est nous qui allons y jouer au loto pour parier sur pacy!!!!

La grande époque des Hameau et autre la bisse and Kersu!!!!

Depuis le 31 juillet afc n'est plus sur le forum......

l'homme craque, j'en n'est pour preuve ses 24 heures d'affilées passé devant son ecran en train de suivre la vie fabuleuse de secret story!!!!!!

Aidons le avant qu'il ne soit trop tard et que son cerveau passe du coté obscure de tf1...

POUR LE RETOUR D'AFC sur le forum

MOBILISATION GENERAL!!!!!!!

Thomas LEVAUX dit Tomy la rouquette ou le rouquin malin. Enfin pas si malin que cela. Je me rapelle fut un temps, le jeune Levaux etait au PSG et monsieur levaux " dit Le rouquin furieux" avait explosé son véhicule  (ford Puma).....Haaa la jeunesse!!!!!!!

Fiche d'identité

Pays	France
Age	28 ans
Date de naissance	20 mars 1980
Lieu de naissance	Le Creusot
Taille	1m87
Poids	79 kg
Poste	Gardien
Club actuel	Créteil

National 2007-2008

Matchs	18 (Titulaire : 18)
Minutes jouées	1620

Carrière

Saison	Club	Pays	Div.	Championnat
				Matchs	Buts
99-00	Saint-Dizier		CFA2	-	-
00-01	Paris-SG		1	0	0
01-02(jan)	Internacional-RS		1	0	0
01-02	America-MG		1	0	0
02-03	Sedan		2	0	0
03-04	Créteil		2	6	0
04-05	Créteil		2	2	0
05-06	Créteil		2	2	0
07-08	Créteil		N	18	0

Hier à Niort, relégué de Ligue 2 qui a complètement déjoué, le promu de l'Eure a montré une maîtrise prometteuse et obtenu un point mérité (0-0).

Dans les jours précédant ce premier grand rendez-vous, Laurent Hatton avait confié ses craintes vis-à-vis de Niort : « Les équipes dirigées par Denis Troch réalisent souvent des débuts de saison tonitruants. » Pour l'entraîneur de Pacy et ses hommes, il n'y avait en fait pas lieu de se faire une montagne du relégué de Ligue 2, plus gros budget de National. Avec le prometteur 0-0 obtenu en Venise Verte, le PVEF peut même nourrir le sentiment d'avoir raté le coche !
Pacy a en tout cas été digne du niveau qui est désormais le sien, le National. Car pas de doute, on n'était plus en CFA, hier à Niort, dans une vaste enceinte René-Gaillard qui, pour être froide et évasée, exhale même des souvenirs de Ligue 2. Comme aucune bonne nouvelle n'est arrivée depuis le Golfe Persique sous forme d'une lettre de sortie émiratie, Pacy a bel et bien dû aborder ce match d'ouverture sans Jawad El-Hajri. Il importait donc de faire le nécessaire pour que l'absence de son leader d'attaque se remarque le moins possible. De camoufler, notamment, le manque d'expérience d'un M'Bessa, qui occupait seul la pointe de l'attaque, devant un trio Gueye-Coplo-Guindo..... Au sein du onze de départ, ils étaient d'ailleurs cinq à vivre leur baptème du feu à ce niveau, (Bezzou, Sambagué, M'Bessa) Gueye et Mirza, alors que le gardien Sébastien Robert ne pouvait revendiquer qu'une maigre apparition avec le FCR en 2004-2005.

Niort, un poteau dans la nuit

La chance de Pacy, c'est que Niort ne présentait pas une équipe beaucoup plus chevronnée. Et même encore plus jeune que son adversaire (quatre joueurs de 20 ans sur onze). Paralysée par l'enjeu ou simplement encore trop tendre, la classe biberon niortaise passait complètement à côté de sa première période. A moins qu'elle n'ait été tout simplement prise au dépourvu par la maîtrise technique pacéenne. L'équipe haut-normande déroulait ses circuits avec une facilité parfois déconcertante... Et c'est là que plana avec insistance l'ombre d'El-Hajri. Car M'Bessa, plus connu pour ses dribbles et ses « descentes » virevoltantes que pour son sens du but, secoua drôlement la défense niortaise, sans qu'un finisseur ne puisse profiter de son travail de sape. La maîtrise euroise n'accouchait donc pas de réelles menaces pour Pontdemé, l'international des moins de 19 ans. Elles sont venues, principalement, de M'Bessa, dont le coup de tête au premier poteau fut trop peu appuyé (37e) et le tir trop écrasé (40e) après avoir enrhumé Fischer. L'ancien Quevillais fut encore trop court au premier poteau pour reprendre un excellent centre fuyant de Guindo. Coplo, qui avait surgi au deuxième, aussi (57e). Cette fois, Niort avait tremblé. Mais ne retrouvait pas d'idées pour autant.
Il fallait une inspiration isolée de l'Argentin Perez Garcia, qui balayait tout sur son passage plein axe, Cvitkovic en dernier lieu, pour placer un tir à ras de terre qui percutait la base du montant de Robert (72e). Les Chamois avaient ouvert un œil, mais retombaient dans leur torpeur, sans que Pacy ne puisse réussir le coup fumant qui s'offrait à lui. Omar Konté avait pourtant le jackpot au bout du pied lorsque Gueye le démarquait parfaitement. Mais le jeune attaquant tardait à frapper et voyait Pontdemé lui bondir dans les pieds (88e). Pacy devait se contenter d'un 0-0. Oui, se contenter. Qui l'eut crû ?
Dans le cul lulu!!!!!!

Sept ans après son dernier passage à ce niveau, Pacy se lance à l'assaut du National, ce soir à Niort. Les Eurois, sans doute privés
d'El-Hajri, leur meilleur atout offensif, sont loin de partir favoris.

1998-2008. Dix ans déjà. Comme l'équipe de France, Pacy a aussi un anniversaire à fêter, celui de sa première montée en National. Le PVEF ne pouvait pas mieux marquer l'événement qu'en revenant au troisième échelon du foot français. Et, même dix ans après, l'exploit paraît toujours aussi phénoménal, surtout quand il est répété une deuxième fois. Mais Laurent Hatton, l'homme par qui les deux «miracles» sont arrivés, n'entend pas verser dans un bonheur béat. «Cette fois, on y va avec des ambitions, car nous avons d'autres moyens, un autre effectif, d'autres structures, d'autres terrains. Entre 1998 et 2001, on se disait qu'on avait rien à faire en National.»

Yéhoumé lui aussi bloqué

Fort d'un recrutement intelligent, avec les «anciens» Sylva et El-Hajri pour baliser la route, Pacy est donc déterminé à prouver qu'il a sa place dans cette division semi-professionnelle. «On a hâte de se jauger, dit le second. On veut savoir ce qu'on vaut. Avant tout, il ne faut pas s'en faire une montagne, mais il faudra gérer les moments difficiles, sachant que le groupe est jeune.» Ce soir dans la Venise Verte, il sera encore plus jeune que l'ancien Brestois l'aurait soupçonné puisque privé de... El-Hajri lui même. Revenu du club émirati de Bani Yas, ce dernier n'a toujours pas reçu la lettre de sortie de la fédération locale. Sauf coup de fil de dernière minute, Pacy se mesurera donc ce soir au relégué de L2 sans son atout offensif maître, qui a tout de même pris hier avec ses partenaires la direction des Deux- Sèvres, au cas où.
Hatton est de surcroît confronté à un cas similaire, celui de Basile Yéhoumé, victime de la lente transition de son dossier de prêt entre LFP et FFF (il évoluait l'an dernier à Reims). Deux coups durs, sachant que le coach devait déjà se passer d'Aguini, suspendu deux matches, et de Paillette, de nouveau aux soins pour de vives douleurs aux adducteurs. Bref, le promu sera définitivement mis à rude épreuve pour son entrée en lice. «J'ai hâte de voir comment les joueurs vont appréhender ce contexte nouveau, avoue Laurent Hatton. Car là, on ne joue pas chez la réserve de Rennes, sur un terrain d'entraînement devant 250 spectateurs...» Le PVEF comptera alors sur le métier d'un Denoyers, (re)désigné capitaine (il avait laissé le brassard à Oponga depuis deux ans). «Je suis assez confiant, dit le défenseur. On est mieux armés qu'il y a dix ans.» A condition de disposer de tout le monde.

C'est la rentrée ! Comme leurs collègues de Ligue 2, les pensionnaires du National retrouvent, vendredi, le chemin des écoliers. Revue d'effectif.

Serré, le National le sera. Depuis un peu plus d'une décennie, date de naissance de la formule actuelle du troisième échelon hexagonal, l'histoire est toujours la même : le suspense demeure jusqu'au bout, en haut, comme en bas, de tableau. Le nouvel exercice, qui s'ouvre ce vendredi, ne devrait pas déroger à cette règle. Entre des relégués revanchards (Niort, Libourne Saint-Seurin, Gueugnon) et des habitués (Laval, Paris FC, Cherbourg...) à l'envie de changer leur ordinaire, la lutte pour la montée est ouverte. Sans oublier des promus (Croix-de-Savoie, Cassis-Carnoux, Pacy-sur-Eure, Bayonne) en quête de stabilité au sein de ce troisième échelon. Tour d'horizon des forces en présence.

Après une éternité, revoilà Gueugnon

La saison dernière a été un véritable calvaire pour le FC Gueugnon (photo Presse-Sports face à Croix-de-Savoie). Empêtrés dans les bas-fonds de la Ligue 2 dès la fin de l'été 2007, les Forgerons n'ont jamais su sortir la tête de l'eau et ont terminé à une triste vingtième place (27 points et 15 longueurs de retard sur le premier non relégable, Dijon). Après vingt-huit ans au-dessus (dont un passage en première division en 1995-1996), les Bourguignons vont retrouver dès vendredi (20h00), face à Rodez, le National. Mais ils ne comptent pas s'y éterniser. Histoire d'atteindre son objectif de retour immédiat en L2, Gueugnon a changé d'entraîneur (Hubert Fournier a remplacé Samuel Michel, qui avait suppléé Alex Dupont en fin de saison) et renouvelé près 80 % de son effectif. Un pari osé, réussi par Tours (2e et donc promu en L2 en mai dernier).

Ziani le néophyte, Troch l'expérimenté

Les deux autres relégués, Libourne Saint-Seurin et Niort, ont également changé de tête. Mais leur tactique fut différente. Libourne a fait appel à un néophyte, Stéphane Ziani, et Niort à l'expérimenté Denis Troch. L'ancien milieu de terrain de Nantes, Bastia, Rennes ou encore Bordeaux, est arrivé en Gironde avec Thierry Oleksiak, ex-coach d'Aurillac (CFA), dans ses bagages. Le tandem rappelle celui du voisin bordelais Blanc-Gasset. Le duo Ziani-Oleksiak connaîtra-t-il la même réussite ?A suivre. Chez les Chamois, Denis Troch sera également observé. Le technicien de 48 ans vient d'échouer sur le fil avec Troyes dans la course à la montée en Ligue 1. Aura-t-il digéré cet échec pour mener Niort vers les sommets du National ?

Laval, Paris FC, Cherbourg, Cannes...

Ces sommets. Ils sont plusieurs à les toucher du bout des doigts depuis quelques saisons. Relégué en 2006, le Stade Lavallois - 4e en 2007, 5e en 2008 - veut (enfin) franchir le cap et semble avoir les moyens de ses ambitions (Duhamel, Chapuis, Neumann sont arrivés). Au Paris FC, Jean-Marc Pilorget a repris du service (entraîneur du club de l'Est parisien de 2005 à 2007) et promet de jouer à fond la carte de l'offensive. Le Cherbourg de Noël Tosi, surprise du dernier exercice (4e), a peu changé (mais a perdu Adnane, meilleur buteur du National de la saison dernière) pour pouvoir récidiver, voire plus. Cannes, Istres, Sète, Créteil ou encore Arles : la liste des favoris bis, ou autres outsiders, est longue.

Cassis-Carnoux plonge dans l'inconnu

Croix-de-Savoie, Bayonne, tous deux descendus en CFA il y a deux saisons, et Pacy-sur-Eure, relégué en 2001, connaissent ce troisième échelon hexagonal. Mais pour le quatrième promu, Cassis-Carnoux, ce sera l'heure, samedi (18h00) sur les terres de l'Entente SGG, du baptême en National. Né de la fusion en 2002 de deux clubs voisins, Cassis-Carnoux plonge littéralement dans l'inconnu pour jouer le rôle du Petit Poucet. Et qui endossera le costume de surprise, laissé vacant par le champion 2008, Vannes ?

Petite présentation du club de Notts County. Club bien connu par certains Gaulois de la vallée et de Navarre.

Notts County
Club fondé en	1862
Surnom	The Magpies
Couleurs	blanc et noir
Stade	Meadow Lane (20 300 places)
Siège	Meadow Lane, Nottingham, NG2 3HJ
Président	Jeff Moore
Domicile	Extérieur

Notts County Football Club est un club de football anglais basé à Nottingham. Le club évolue pour la saison 2007-2008 en Football League Two (quatrième division anglaise).

<script type=text/javascript> //<![CDATA[ if (window.showTocToggle) { var tocShowText = "afficher"; var tocHideText = "masquer"; showTocToggle(); } //]]> </script>

Repères historiques [modifier]

• Fondé en 1862, le club adopte un statut professionnel en 1885 et rejoint la League dès sa fondation en 1888.
• En 1910, le club déménage dans son stade actuel, le Meadow Lane. Le premier match se termina par un nul 1-1 face au grand rival Nottingham Forest devant pas moins de 28000 personnes.

Palmarès

• Champion d'Angleterre D2 : 1897, 1914, 1923.
• Vice-champion d'Angleterre D2 : 1895, 1981.
• Vice-champion d'Angleterre D3 : 1972.
• Champion d'Angleterre D3-Sud : 1931, 1950.
• Vice-champion d'Angleterre D3-Sud : 1937.
• Champion d'Angleterre D4 : 1971, 1998, 2004.
• Vice-champion d'Angleterre D4 : 1960.
• Vainqueur de la FA Cup : 1894.
• Finaliste de la FA Cup : 1891.

 

 

 

Site officiel: Notts County FC

Pour les fans.

Un cadeau offert ( un ratelier à fusil) au premier  qui trouve à quel club appartient ce maillot.

1er indice: heu d ' l'aute coté d'la seine