• FC Rouen rétrogradé en CFA2

    La DNCG a confirmé hier en appel la décision de rétrogradation administrative en CFA2 prise en première instance.

    Le club va désormais plaider sa cause auprès du CNOSF. Ci-dessous le communiqué officiel du club publié sur fcrouen.com :
    "La commission d'appel de la DNCG a confirmé la rétrogradation du club en CFA2 . La commission n'a pas pris en compte la dernière augmentation de capital de 270 000Euros qui permettait au club d'avoir une situation nette positive de 65 000Euros. Devant cette décision incompréhensible, injuste et injustifiée le Président Pascal Darmon et ses conseillers juridiques vont entamer les procédures de recours devant le CNOSF dès la réception de la notification."


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  • Amical : Paris FC - Pacy sur Eure : 1-0

    Le Paris FC fait l'essentiel

    On a eu droit ce samedi après- midi à une rencontre plaisante bien que moyennement rythmée entre deux équipes qui préparent le début de la compétition, qui pour info démarre en fin de semaine prochaine pour le National. Le Paris FC a fait l'essentiel en remportant une victoire importante pour le moral bien que maigre en enseignements pour le coach parisien Pilorget.

    Sous un beau soleil et une affluence habituellement clairsemée dans l'enceinte du stade Charléty, les deux effectifs ont beaucoup tourné en seconde période avec encore des essais pour le Paris FC notamment. La rencontre débuta du coté parisien avec une équipe qui devrait se rapprocher de celle que l'on verra lors de la prochaine rencontre face à Laval.

    Les deux périodes furent assez identiques avec un rythme plutôt "cool" et quelques offensives placées, avec notamment du coté parisien un Kiaku qui essaye de bouger l'arrière- garde pacéenne. Il réussira à trouver la brèche lors de la première période pour marquer ce qui sera le seul but de la rencontre. Malgré quelques réactions en fin de match de la part des visiteurs, le Paris FC tient sa victoire face à un futur adversaire en championnat.

    Après cette série de matchs amicaux, on notera que le Paris FC aura disputer 7 rencontres pour 3 victoires, 2 matchs nuls et 1 défaite face à Reims (Ligue 2). En bilan comptable, les parisiens auront mis 7 buts pour 6 encaissés. Kiaku aura fait trembler les filets 4 fois suivi par Elouaari, Kharbouch et Yenga qui auront mis chacun un but.

    Après cette rencontre, on apprend que le milieu de terrain Cerou Fofana serait très près de signer au Paris FC après avoir été utilisé lors de plusieurs matchs amicaux. La prochaine rencontre du Paris FC aura lieu samedi prochain pour la première journée de championnat. La formation parisienne accueillera à cette occasion l'équipe de Laval à 18 heures au stade Charléty .


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  • Sur le terrain comme en dehors, le défenseur franco-croate s'impose comme une valeur sûre du groupe pacéen. Rencontre.

    Depuis son arrivée fin juin, il souffle sur Pacy un léger vent d'Est. Rassurant. Recruté pour remplacer Camille Oponga, capitaine en partance, Stepjan Cvitkovic n'aura eu besoin que d'un mois d'entraînement et un match amical pour convaincre les sceptiques qu'il avait bel et bien les épaules pour le poste. Question de gabarit d'abord (1,90, 78 kg), de personnalité aussi. Le Franco-Croate a l'âme d'un patron. Les attitudes et les mots aussi. «C'est vrai que j'aime bien diriger. Enfin disons plutôt communiquer, se reprend le jeune homme de 26 ans en souriant. A mon poste je me dois de toute façon de dégager une certaine sérénité. Je ne veux pas que mes partenaires tremblent à chaque fois que je dois intervenir.»
    L'incertitude, il ne connaît pas. Le joueur est sûr de lui. Toujours. «Je le suis, assume en effet sans faux-semblants celui dont la quasi totalité de la famille réside encore en Croatie. La confiance en soit, c'est très important pour un footballeur. Je dirais même que c'est essentiel.» Y compris dans le vestiaire. Arrivé dans l'Eure il y a un peu plus d'un mois, le Dijonais de naissance fait déjà partie des murs. «Les anciens nous ont facilité la tâche en nous accueillant très bien. Ils ont mis les nouveaux à l'aise et, du coup, cela nous permet de nous lâcher un peu et d'être naturel.»

     

    L'exemple de Vannes

    Lui a déjà trouvé ses marques dans le groupe dirigé par Laurent Hatton et Patrick Vallée. Bien plus facilement en tout cas que l'an dernier à Waasland (D2 belge). «Je suis vraiment heureux d'entendre de nouveau le coach et mes coéquipiers parler français, sourit celui qui a porté les couleurs de Dijon .de 6 à 21 ans. A Waasland, tout le monde parlait flamand. Cela n'était vraiment pas facile à vivre. D'autant plus que les Flamands sont très conservateurs. Presque racistes. Entre un joueur flamand et un étranger, ils préfèreront toujours le Flamand.» Adaptation difficile à la vie belge mais aussi à son football pour le Croate d'origine. «C'est plus physique qu'en France. C'est un jeu très direct. Pas très agréable.»
    Tout le contraire en fait de ce que prône Laurent Hatton. «C'est vrai que cela correspond exactement à ce que je recherchais. Je n'aime pas jouer en balançant devant pour les attaquants. Je préfère construire.» Le deuxième match amical pacéen contre Compiègne, cet après-midi, est là pour ça. «On va continuer à travailler les associations et les combinaisons. On doit garder le même état d'esprit que samedi contre le Red Star (2-0).» Et lui la même solidité. Histoire, pourquoi pas, de taper dans l'œil des recruteurs de Ligue 2 la saison prochaine. «C'est sûr qu'après trois ans en National (deux avec Dijon, une avec Beauvais), j'aimerais bien découvrir la L2 mais pourquoi ne voir Pacy que comme un tremplin ? Pourquoi ne pas arriver en L2 avec Pacy ? Je ne pense pas que Vannes s'imaginait faire un tel parcours l'an dernier. Alors pourquoi pas nous ? Ce groupe a vraiment de la qualité.» Et, à l'image de son nouveau défenseur central, de l'ambition.

     



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  • A l'aube de sa 14e saison au club et alors qu'il avait rempilé en juin dernier, Olivier Hameau a, à la surprise générale, mercredi, a décidé de quitter Pacy avant même le début de championnat.

    Les histoires d'amour finissent mal en général. Celle entre Olivier Hameau et le Pacy Vallée d'Eure Football ne fera pas mentir les Rita Mitsouko. Après quatorze ans d'idylle, le club pacéen et son attaquant fétiche se sont séparés mercredi dans l'incompréhension générale et à l'initiative du joueur. « Il est venu me voir en me disant qu'il ne souhaitait plus faire partie de l'aventure, confiait Laurent Hatton le soir même. Je constate sa décision mais j'avoue que j'ai un peu de mal à l'accepter et à la comprendre. D'autant qu'en fin de saison passée, quand on a fait le point, on était d'accord sur la poursuite de notre collaboration. J'apprécie modérément qu'il nous lâche maintenant. Après trois semaines de préparation. »

     Je n'ai pas envie passer pour un guignol »

    Une préparation qu'Olivier Hameau a justement très peu goûtée. « Au fur et à mesure des séances et des matches, je prenais de moins en moins de plaisir, avoue l'ex-Pacéen. J'ai perdu la motivation pour jouer à Pacy. » A Pacy mais pas forcément ailleurs. « Ce n'est pas parce que je quitte le club que j'arrête le football pour autant, confirme-t-il. Pour l'instant, pour être franc, je n'ai pas encore pensé à la suite mais, malgré mes 33 ans, je sais que je peux encore apporter. »
    Et c'est justement parce qu'il avait l'impression qu'on n'attendait plus rien de lui à Ménilles que l'attaquant de poche a claqué la porte. « Je savais très bien qu'on ne comptait pas forcément sur moi pour le National et j'avais accepté de rempiler en connaissance de cause mais, depuis la reprise, j'ai eu l'impression

    qu'on me prenait un peu pour un con. Notamment en ne me faisant pas jouer à mon poste comme samedi dernier face au Red Star où j'ai évolué latéral droit. Or, je n'ai pas envie de passer pour un guignol et encore moins de me faire engueuler du début à la fin. J'ai conscience de ne plus avoir le même niveau qu'avant mais j'espérais un peu plus d'égards. »
    Dur, très dur à avaler pour le natif de Pantin. « Je suis rentré contrarié samedi et j'ai peut-être réagi à chaud mais je ne suis pas un gamin de 20 ans. Je n'ai pas envie de me faire rentrer dedans de cette manière. » Premier visé, Laurent Hatton bien sûr. Un entraîneur avec qui les liens étaient pourtant très forts. « Je pense qu'on a perdu la complicité qui était la nôtre, lâche Hameau. J'ai besoin qu'on ait confiance en moi et qu'on apprécie ce que je fais sur un terrain. Là, ce n'est plus le cas. » Pas question non plus de jouer avec la CFA 2 « pour des raisons personnelles. Mon seul choix était donc de quitter le club. »Par la petite porte. Sans le moindre hommage ou adieu. « J'ai beaucoup d'amertume de partir comme ça mais je préfère arrêter avant de me prendre la tête, concède-t-il. J'aurais pu continuer à prendre mon chèque à la fin du mois mais ça n'aurait pas été honnête. Là, je pars en pouvant me regarder dans une glace même si j'aurais préféré une autre sortie. Notamment quitter le club avec un autre entraîneur aux commandes. Malheureusement, on est entré dans le football d'entreprise. Il n'y a plus de sentiments. » Et les divorces sont, du coup, encore plus douloureux qu'avant.


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  • Enfin mon moment de gloire..un breton à pacy.

     

    Arrivé du jeune defenseur  Thomas Romain
    1m 93 - 84kg
    né à Landerneau
    nationalité Française
    gaucher

     

    C'est du pure produit maison cela madame!!! Enfin un finistérien

    Souhaitont lui la bienvenue ..

     

    Breizh da viken


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  • Le come back de Richard??????

     

    Info ou intox????

    Selon, les propos de la charcutiére de Pacy, Richard Akiana ( 39 ans) serait sur le point de signer au PVEF!!!!

    Incroyable, mais en raison du depart d'Olivier Hameau vers d'autres cieux "argenté", notre Richard nous sera fort utile....

    Let's go richard, 3 buts en national et je te paye le resto.


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  • 9 Juillet 2008, sous les ordres de M Hatton, les joueurs du PVEF enchainent les exercices de préparation.

    Coplo ( sur la photo) est en plein jeux de passe...


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  • Biimmm bammm booommmm

    Ca casse, ca péte, ca déglingue, ca retourne...

    tracteur, and co sont en pleins travaux sur notre temple de Ménilles!!!

    Les travaux avancent tranquillement ( comme nos vieux).

     


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  • Les indépendants tjrs dans les bonnes causes, ont profitées de l'occasion pour faire de la pub au PVEF, en plein festival des Solidays   c'etait la folie.

     

    PS: pour les fans, je ressure, il n'y avait pas de coca dans la bouteille, enfin juste un peu


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  • « Etre ambitieux avec Pacy »

    Après une année passée aux Emirats arabes unis, Jawad El Hajri est de retour à Pacy-sur-Eure.
    Il nous livre ses impressions.

    Insaisissable Jawad El Hajri. Sur le terrain comme en dehors. Il avait prévenu dès le matin. Parler, il n'aime pas vraiment ça. Pas évident dans ces conditions de l'attirer autour de la table. Moins évident encore de le faire se confier. Face à la presse comme face aux défenses, le nouvel avant-centre pacéen cultive l'art de l'esquive. Une fois assis, le Bergeracois de 28 ans se laisse pourtant prendre au jeu. Evoquant à la fois ses frustrations brestoises, ses découvertes aux Emirats et ses espoirs pacéens. Morceaux choisis.
    Vous retrouver à Pacy est une petite surprise. Dans quelles conditions s'est fait votre retour ?
    Jawad El Hajri : «Pour être franc, à mon retour des Emirats arabes unis, je tablais plutôt sur un club de L2 car je pense avoir fait le tour en National. Or, je me suis vite aperçu qu'il est dur d'avoir la confiance des staffs techniques quand on rentre du Golfe. Les clubs sont très craintifs par rapport à votre niveau physique. A partir de là, j'ai commencé à regarder en National. »
    C'est à ce moment-là que la piste pacéenne est devenue une évidence ?
    «Non. J'avoue que je l'avais même occultée et puis, petit à petit, avec le recul, c'est celle qui s'imposait d'elle-même. J'avais des contacts avec 5 ou 6 autres clubs mais, à partir du moment où j'ai réalisé que je pouvais revenir à Pacy, je n'ai pas hésité. Je sais que c'est la meilleure solution pour moi. »
    Qu'est ce qui vous a convaincu ?
    «L'entraîneur déjà. Sans Laurent Hatton, je jouerais peut-être encore en 3e division de district. C'est lui qui est venu me chercher alors que j'évoluais avec la réserve de l'EAC. D'ailleurs, je ne sais pas trop ce qu'il faisait là pour un match d'un niveau aussi faible. Il devait sans doute s'ennuyer !  (hihihi)

     C'est vraiment lui qui m'a permis de faire carrière. Il n'a donc pas eu besoin de grands discours pour me convaincre. Laurent, c'est un peu mon mentor. »
    Avec quels objectifs revenez-vous à Pacy ?

    Faire le mieux possible. Je vais me donner à 100% et on verra ce que ça donne. »
    Le but est-il d'attirer les regards pour rebondir en L2 ?
    « Et pourquoi ne pas être ambitieux avec Pacy ? Le plus important pour un joueur, c'est d'avoir la confiance d'un entraîneur. Or, quand on a trouvé cet entraîneur, pourquoi ne pas rester et progresser ensemble ?»
    Ce besoin de confiance résulte-t-il de votre expérience mitigée à Brest ?
    « C'est vrai que je suis arrivé là-bas après deux bonnes saisons à Boulogne-sur-Mer, dans un club sain. Brest, à l'inverse, était déchiré par les luttes d'influences. Thierry Goudet, le coach, avait la pression au niveau des résultats et, du coup, je n'ai pas eu ma chance. Quand Janin, son remplaçant, m'a dit qu'il ne comptait pas sur moi, je me suis dit qu'il était temps de partir. »
    Et pourquoi les Emirats ?
    «J'ai vu les pistes se refermer une à une en France alors l'étranger est devenu une possibilité. Et, soyons francs, financièrement, les Emirats permettent de se mettre un peu à l'abri.»
    Comment s'est passée votre année là-bas ?
    «Lors de la première partie de saison, j'ai marqué 18 fois en 14 matches et puis j'ai eu une lésion musculaire. Les staffs médicaux n'étant pas aussi bons là-bas qu'en Europe, je n'ai pu rejouer que six matches en fin de saison. Frustrant. »
    Qu'est ce qui vous a décidé à rentrer ?
    «Les situations contractuelles ne sont pas toujours très nettes et, comme ma femme attend un heureux événement, j'ai décidé de revenir. D'autant que la pression est énorme là-bas car, quand il te recrute, ils ont l'impression de recruter Ronaldinho ! (rires). »
    Quelles sont vos premières impressions sur cette équipe de Pacy ?
    « J'ai trouvé un groupe jeune et qui a envie de vivre ensemble. Cela sera, je pense, une force dans les moments difficiles. En ce qui me concerne, j'arrive en n'ayant vraiment pas l'impression d'être nouveau. C'est peut-être un tort mais je me sens comme chez moi. »


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  • <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p>PACY EN NATIONAL </o:p>

    <o:p> </o:p>

    C'est officiel le PVEF est en national!!!!!!!!!! Apres notre passage devant la dncg, le PVEF en ressort sans aucune complication.<o:p></o:p>

    Merci à l'ensemble du staff  et des dirigeants pour le travail accomplie, aux supporters, au public, ainsi que tous ceux qui ont soutenues le club !!!!!!!!!<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Fêtons dignement notre accession dans le monde pro du foot dignement!!!!!!!!!!!!<o:p></o:p>

    Allez PACY<o:p></o:p>

    La vallée d'Eure n'est pas morte!!!!!<o:p></o:p>

     


    2 commentaires
  • En exclusivitée mondial, les indépendants de pacy vous proposent la premiere photo officiel de notre Arthur à Dunkerque.

    D'apres notre reporter sur place " la grosse LuLu" il s'agirait du maillot exterieur.


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  • Avant le verdict, remercions nos dirigeants

     

    President Mr Emmanuel Villette, et Mr Gilles Caoudal pour tout le travail et l'energie qu'ils apportent au club...

     

    Allez Pacy...

     

    Tjrs dans l'attente de la décision...pour le moment RAS. Je reste sur le pied de guerre

    ( Jeudi 3 juillet 2008  20h49).


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  • Retrouvez cette année les articles des indépendants de pacy.

     

    Pour plus de precision me contacter sur le forum du PVEF

    mp: comedien78


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  • Toujours dans l'attente du verdict !!!!!<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

    J'ai envoyé des reporters dans tout Pacy!!!!!<o:p></o:p>

    Apparemment, l'entretient de nos valeureux dirigeants c'est bien passé avec les hautes sphères.<o:p></o:p>

    Ils ne vous restent plus qu'à patienter.<o:p></o:p>

    Le peuple de la vallée attend impatiemment de savoir si il sera en NATIONAL l’an prochain.<o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    Je vous tiens au courant dés que possible....

     <o:p></o:p>

    Allez PACY

     


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  • Football: El Hajri revient aux sources à Pacy

    En faisant revenir l'ancien Boulonnais dans le club où il s'est révélé, Laurent Hatton et les dirigeants Pacéens ont certainement réalisé un très gros coup.

    Question recrutement, Pacy et Laurent Hatton sont allés droit au but. Résultat : Un mois tout juste avant la reprise du championnat, l'effectif eurois affiche déjà complet. Et pour clore en beauté un mercato estival rondement mené, le Pacy Vallée d'Eure Football a réussi un très joli coup en s'offrant dimanche les services de Jawad El Hajri.
    Exilé aux Emirats Arabes Unis et au Bani Yas Abu Dhabi l'an passé, le Bergeracois de naissance fait son retour dans le club qui l'a révélé et dont il a porté les couleurs pendant près de trois saisons (1999-2002). Assurément une belle affaire pour la formation du président Villette.
    Meilleur buteur du National avec Boulogne-sur-Mer en 2005-2006 (22 réalisations), El Hajri fait en effet figure de valeur sûre à un niveau qu'il a déjà fréquenté quatre saisons durant avec Pacy, Alès, Cherbourg et Boulogne. « Jawad, c'est l'expérience, s'enthousiasme Laurent Hatton qui l'avait fait venir à Pacy il y a près de dix ans alors qu'il n'évoluait qu'en 4e division de district avec la réserve de l'Evreux AC. Il connaît le monde pro. C'est le genre de joueur dont on est sûr qu'il va nous apporter quelque chose. » Le genre de joueur difficile à recruter aussi. L'entraîneur eurois ne se faisait d'ailleurs guère d'illusions sur la possibilité de faire revenir à Pacy son ancien protégé il y a encore quelques semaines.

     Travailler ensemble »

    « On s'était vu en mai lors du dernier match de la DH, se souvient-il. À l'époque, Jawad voulant retrouver un club de L2, on n'avait même pas évoqué sa possible venue. Cependant, on est resté en contact et, quand il a vu qu'il lui serait difficile d'avoir une place de titulaire


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  • Dans la vallée de l'Eure, les femmes sont aussi à l'honneur.

    Pour les matchs à Ménilles, les jours de grands froids...


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  • Les sabots de la vallée, corrigés par la PVEF touch

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  • Le maillot du PVEF vu par les Indépendants

     

     

     


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  • Football: Pacy à fond la forme


    A partir de mardi et jusqu'à samedi prochain, les Pacéens partent en stage. Le tout sans préparateur physique à part entière.

    A Pacy, le physique passe après. Pour Laurent Hatton et Patrick Vallée, les priorités sont autres. Surtout en début de saison. Les joueurs du Pacy Vallée d'Eure Football peuvent s'attendre à plus souvent toucher le ballon qu'aligner les tours de terrain. Même lors du stage de Granville, qui commencera mardi pour s'achever samedi.
    « On ne fait pas de physique pur et dur, confirme Hatton. Notre travail athlétique est moindre que celui effectué au niveau tactique et technique. On navigue un peu entre les deux mais notre fil conducteur est le jeu. Le reste n'est que prétexte. » Pas question donc pour le club pacéen de faire appel à un préparateur physique. « Le problème, c'est qu'ils sont un peu en décalage avec l'esprit du footballeur. Eux, leur but, c'est que le sportif soit en bonne forme physique. Ils le préparent comme un athlète. Sans l'aspect ludique et les jeux avec les ballons dont je pense, le joueur a besoin. »
    Hatton : « La saison dernière nous a renforcés dans nos idées »
    Autre frein au recrutement d'un tel spécialiste : le coût. « Budgétairement, on ne peut pas se permettre d'avoir quelqu'un en plus dans le staff. » Du coup, ce sont Hatton et Vallée eux-mêmes qui s'y collent. « On se réunit pour définir le planning de la semaine et le contenu des séances et on tourne sur environ dix jeux qu'on a sélectionnés. On s'en attribue l'animation à tour de rôle, histoire que les joueurs aient de la variété dans les discours. C'est moins monotone pour eux. » Et à ceux qui leur reprocheraient de ne pas avoir les diplômes requis, le coach pacéen rétorque : «On a des formations d'entraîneurs de plus en plus complètes et, même si on n'est pas des spécialistes, on a au moins des bases. Et puis, avec l'expérience, on connaît les exigences d'une saison et ce qu'il faut faire pour bien la préparer. » La preuve la saison passée : « Si on fait le bilan, on a eu peu de blessures et de gros coup de mou. Cela nous renforce dans nos idées, même si la vérité d'hier n'est pas forcément celle de demain. » Reste que les deux entraîneurs n'ont rien changé à leur programme de l'été dernier. « On recherche plus la qualité que la quantité de travail. On fait moins d'exercices, mais on prend le temps de bien les faire. Ce qui sera d'autant plus vrai en stage puisqu'on y dispose d'encore plus de temps. » Et, avec le temps, tout prend forme. Même les footballeurs.
    Les matches amicaux

    Le 12 ou le 13 juillet : Red Star (CFA) ; le 16 juillet : Compiègne (CFA) ; le 18 juillet : Sannois-Saint-Gratien (Nat) ; le 20 juillet : Caen B (CFA) ; le 26 juillet : Paris FC (Nat). Horaires et lieux à définir.


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