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Pacy sur eure ( une vision de pacy pour ceux qui aiment les fleurs, les vaches, les fleurs, les trains, les fleurs)
Bapteme du feu pour nico le vosgien ( supporter pacéen)Serge Gainsbourg Le fossoyeur ( La classe)Reportage France 3 Yoann Gontier ( On va te faire ta campagne !!!!) Gontier c'est l'avenir.... Pour la france pour PACY voter Gontier
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Satisfait de l'entame de saison de son club, le président Emmanuel Villette rappelle que Pacy ne pourra s'inscrire dans la durée en National sans la naissance d'un projet de grand club de l'Eure.
Jusqu'ici, on ne peut pas dire que la présence d'Emmanuel Villette a particulièrement inspiré Pacy. L'unique match auquel a assisté le président du club eurois s'est soldé par une défaite et une prestation médiocre, contre Cassis-Carnoux (0-1). « Ce soir-là, j'ai été déçu par le comportement général de l'équipe. » La réaction du PVEF à Calais vendredi (succès 4-1), où il était « représenté » par son bras droit Gilles Caoudal, a été à la mesure de sa frustration, bouclant un premier mois finalement satisfaisant (7e avec 8 points en cinq journées). Villette revient longuement sur cette bonne entrée en National et réitère son souhait de faire de Pacy l'équipe de tout un département. Question de survie...
Quel est votre regard, même déformé par le couac de Cassis- Carnoux, sur le premier mois de compétition de Pacy ?
Emmanuel Villette : « Je crois que ce match de Cassis n'était pas révélateur du niveau de l'équipe, qui n'a pas montré assez d'engagement ou de volonté de l'emporter. C'est le seul que j'ai vu, ça tombe mal ! On va considérer qu'il appartient au domaine de l'exception. Car pour le reste, on réalise un parcours quasi idéal. »
Un parcours qui donne des idées, non ?
« On a toujours dit qu'on ne se contenterait pas d'un maintien ric et rac (sic). Cette équipe paraît avoir les moyens de viser mieux, mais elle doit le confirmer sur la durée dans ce championnat où personne n'est pour le moment en dessous ou au dessus. Autrement dit, il n'y aura pas un seul week-end de tranquillité. »
Celui qui vient de s'écouler a dû vous plaire, avec trois succès à l'extérieur (équipe A, équipe B, 18 ans) ?
« C'est effectivement un week-end faste. C'est bien car ça ne nous donne pas l'occasion de douter et ça vient valider la qualité du travail de fond accompli au club. Et puis, vis-à-vis de l'extérieur, on devient crédibles sur la place du foot. On savoure, mais ce n'est qu'un début. »
En tant que président, qu'est-ce que ça change de diriger un club de National ?
« Malheureusement, très peu de choses en terme d'emploi du temps. J'ai une activité professionnelle (NDLR : il dirige un cabinet d'inspection technique à Paris) qui ne me permet pas de le bousculer, par exemple de dégager une journée complète pour un match à l'extérieur. Du coup, je m'attache en fait davantage au fonctionnement et à la pérennité du club qu'au volet sportif, que je laisse entre les mains du staff. »
Vous déclariez justement, il y a un peu plus d'un an : « C'est quasiment impossible pour Pacy d'être pérenne au niveau National ». Vous persistez ?
« Toujours ! On a bâti un projet pour s'en sortir cette année, mais au prix de gros efforts de la part de partenaires privés, en plus, bien sûr, des aides des collectivités. Mais la volonté de ces partenaires ne se maîtrise pas à moyen terme. La solution, pour être viable, c'est de tendre vers des couleurs départementales en trouvant d'autres ressources. Reste à savoir si le Département saisira ce qu'on peut lui proposer : pourquoi pas un club de Ligue 2 ? L'Eure le mériterait. Aujourd'hui, Pacy a les fondations mais n'y arrivera pas tout seul. Sortir du CFA, c'est tellement dur... Ce serait dommage d'y retourner dès à présent. »
Le PVEF devra donc se tourner, notamment, vers Evreux ?
« Pour le moment, ce n'est pas forcément utile vu que la ville ne possède que des clubs de DH... »
Pensez-vous tenir jusqu'à ce que l'ALM ou l'EACF retrouvent un niveau correct ?
« Ça tiendra, mais c'est fragile. Aujourd'hui, je le répète, on est solides. Demain, pas forcément. Notre budget est quasi bouclé, il ne nous réservera pas de mauvaises surprises. Il est deux fois et demi supérieur à celui du premier passage en National (1998-2001). Mais entre-temps, l'inflation a été si considérable qu'on n'a pas progressé dans la hiérarchie. »
Ce souci de rassemblement des énergies locales peut-il se heurter au contentieux qui vous oppose à l'Evreux ACF dans le cadre du « transfert » d'Olivier Hameau ?
« La dernière fois que j'ai parlé à mon homologue Norbert Lecomte, il y a environ six semaines, l'échange avait été très courtois et il avait entendu notre position, qui est tout simplement celle du respect du réglement. Hameau et l'EAC se sont posés en victimes. Le joueur, un garçon sympathique au demeurant, a tenu des propos acides sur le club. C'était un peu choquant, d'autant que c'est lui qui a commis une erreur en quittant le club sur un coup de tête, sur une mésentente ponctuelle alors que les contours de son engagement pour cette saison étaient tout tracés. Maintenant, stoppons les propos extravagants. C'est une affaire qui doit être bientôt classée. »
Devant la commission d'appel de la Ligue régionale, le 8 septembre ?
« Nous avons effectivement reçu une convocation pour cette date. »
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Détenteur du brassard par intérim ( ADECCO), Nicolas Mirza, buteur et remarquable vendredi
L'homme
Capitaine pour la première fois de sa carrière en raison de la suspension de Denoyers et de son statut de Pacéen le plus ancien sur la pelouse (il est au club depuis 2005) malgré son jeune âge (24 ans), Nicolas Mirza a parfaitement marqué le coup. Et pas seulement en raison de son but, à la réception d'un coup franc de Bezzou - « on avait travaillé cette phase dans la semaine, Stjepan (Cvitkovic) dévie un peu la balle et je conclus de l'extérieur du pied droit » - celui qui a mis Calais KO cinq minutes après l'ouverture du score de Gueye. Le brassard a en effet semblé transcender le grand milieu défensif formé au Paris-SG, qui a dégagé vendredi sa puissance et sa sérénité habituelles, auxquelles il a ajouté une lucidité supérieure dans l'organisation du jeu, bien soulagé qu'il était par Gaël Angoula dans les tâches obscures. Même s'il assure qu'elle ne change pas sa façon d'être - « Le brassard, ça veut à la fois dire beaucoup et peu de choses... » - Mirza a été digne de ses nouvelles fonctions, guidant son équipe vers un succès triomphal.
Le baromètre
Au beau fixe : Dans le sillage de Mirza, Jean M'Bessa a confirmé son excellent début de saison en mettant au supplice l'arrière-garde du CRUFC. A la clé, un but et une passe décisive.
Eclaircies : Remplaçant contre Cassis-Carnoux, Gueye a retrouvé des galons de titulaire et livré un match d'une grande intelligence, récompensé par un but magnifique. Coplo s'est enfin fait une place au soleil au milieu. Pas impérial contre Cassis, Cvitkovic a formé un mur infranchissable avec un Thomas appliqué.
Mauvais temps : Jawad El-Hajri, qui tarde à retrouver une forme optimale, a découvert les plaisirs du banc de touche vendredi. Pas sûr, au vu du résultat, qu'il puisse se réinsérer rapidement dans une animation très performante sans lui, et qui convient notamment mieux à M'Bessa.
La phrase
«Je le sentais bien, ce match à Calais, d'autant mieux qu'en huit ou neuf matches, je n'ai jamais perdu contre eux !» Stjepan Cvitkovic, adversaire du CRUFC à de nombreuses reprises avec Beauvais ou Dijon, a transmis son fluide positif à Pacy. Qui n'en avait peut-être pas besoin, puisque le club eurois avait également été en réussite face aux Nordistes en CFA en 2004-05 (victoires 1-0 et 3-0).
Le chiffre : 3
Jean M'Bessa se sent désormais beaucoup moins seul. Unique buteur jusque-là, le Franco-Camerounais cohabite depuis vendredi au palmarès des buteurs avec trois autres novices en National : Mirza, Gueye et Aguini ont chacun signé leur première réalisation à ce niveau.
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Une semaine après avoir concédé sa première défaite, l'équipe normande a spectaculairement réagi hier soir en allant atomiser Calais sur sa pelouse (4-1).Il a beaucoup été question de solidarité active, cette semaine, et du revenu qui lui est associé. Les Pacéens n'ont justement manqué ni de solidarité ni d'activité, hier à Calais, sans doute à la satisfaction de leur entraîneur Laurent Hatton, qui avait actionné le signal d'alarme après une défaite malvenue, samedi dernier face à Cassis-Carnoux. Et le revenu a été copieux : le PVEF a proprement dynamité en seconde période une équipe calaisienne désemparée, confirmant son aisance hors de ses bases avec ce deuxième succès en déplacement (4-1).
Compact et agressif au sein d'un milieu renforcé avec Coplo et Gueye en position haute, alors que El-Hajri, comme on avait pu le pressentir, patientait sur le banc en compagnie d'Aguini, Pacy a d'abord patiemment contrecarré les mouvements calaisiens, M'Bessa, un peu esseulé devant, en a été réduit à tenter des frappes difficiles (7e, 11e, 24e). Côté CRUFC, alors que François Ribéry n'a décidément pas le coup de rein de son frère, on s'en est remis aux centres de Danset pour trouver la faille. Sur l'un d'eux, Hoguet, oublié par la défense normande à l'entrée des six mètres, a manqué le ballon d'un cheveu (37e). Danset a dû juger que c'était bien insuffisant - et il aurait raison - car il passait la surmultipliée juste après la pause avec deux débordements saignants. Sur le premier, alors qu'il avait effacé Thomas, Sylva a sauvé sur sa ligne (48e).
Gueye déclenche l'avalanche.Peut-être grisés par leur nouvel allant, les Nordistes se laissaient piéger par des Pacéens prompts à s'engouffrer dans les brêches. Lancé par Coplo, M'Bessa en trouvait une belle, mais perdait son duel avec Schille (55e). Visiblement, le CRUFC ne prenait pas l'avertissement au sérieux, et Gueye, parti du milieu de terrain, se faufilait au cur des lignes arrières pour ajuster parfaitement Schille d'un « exter » dans le petit filet (57e, 0-1). Et ça ne faisait que commencer, car au lieu de gérer son avantage, Pacy appuyait sur le champignon. Un but de M'Bessa était refusé pour hors-jeu (61e). Qu'à cela ne tienne : deux minutes après, Mirza, grand capitaine hier, reprenait facilement un coup franc de Bezzou au second poteau (0-2, 63e). Et l'heure de M'Bessa allait venir lorsque le Franco-Camerounais reprenait d'une tête décroisée un centre millimétré de Sambagué (77e, 0-3). Un exploit personnel de Roye, auteur d'une frappe magistrale de 20 mètres, redonnait un peu de voix au nombreux public calaisien, et une violente altercation opposait Gueye... à son propre soigneur, Frédéric Caoudal. Pacy terminait heureusement sur une meilleure note lorsqu'Aguini, tout juste entré à la place du milieu offensif pacéen, convertissait, seul devant Schille, une offrande de M'Bessa (89e). 4-1, le score est éloquent et devrait lancer pour de bon la saison pacéenne.
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En fin de carriere chez nous et aprés un faux départ dans une entreprise de déménagement brocanteur. Pat' Bisson dit " La grand bisse", a rechaussé les crampons.
Tout nouveau gardien de but du Slovan Bratislava ( Slovaquie). Bisson remplace Daniel Kiss, blessé en match de préparation. Un contrat de 6 mois autait été signé par l'ancienne gloire du PVEF.
Post: brankár
Výka: 192 cm
Váha: 95 kg ( il a grossit pépére)
Dátum narodenia: 14. 04. 1971
Miesto narodenia: Pacy Sur Eure ( francià)Moje predchádzajúce pôsobiská
odchovanec K Slovan BratislavaV Slovane pôsobím od roku
2008Hrať za Slovan pre mňa znamená
česťCharakteristika
Prezývka: Valderama, Jérome Morel.
Stav: enatý, pornos films
Deti: syn Tadeá
Čo mám rád: rodinu
Čo nemám rád: zlých ľudí
Čo dokáem odpustiť: keď nevidím zákernosť v konaní druhého
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